top of page

Bienvenue sur la page dédiée à la préparation mentale pour cavaliers et maîtres-chiens !

Cavalier en concours
Agility

Préparation mentale
Optimisez vos performances

« Ce n’est pas parce que le mental ne se voit pas qu’il ne se prépare pas »

La préparation mentale est essentielle pour atteindre son plein potentiel dans le sport. Alors que de plus en plus de cavaliers commencent à intégrer cette dimension, elle reste encore largement sous-exploitée, notamment dans les sports canins. Les animaux, en tant qu'éponges émotionnelles, peuvent être profondément influencés par votre stress.

COMMENT ÇA FONCTIONNE ?

La préparation mentale consiste à s'entraîner en amont des compétitions ou des entraînements pour mieux gérer son esprit : stress, pensées parasites, ruminations.

Je vous propose une approche pédagogique avec un accompagnement personnalisé, adapté à vos objectifs. Cet accompagnement peut se faire de manière individuelle ou sous forme de stage d'une journée, à découvrir ici. Vous apprendrez à mieux vous connaître et à développer vos propres outils pour gagner en autonomie

 

Les outils que je vous propose sont basés sur :

  • la respiration ;

  • le dialogue interne ;

  • la visualisation ;

  • la relaxation.

COMMENT SE DÉROULE UNE SÉANCE ?

La première séance est dédiée aux explications, à la définition de vos objectifs et à des exercices pratiques de respiration. Nous définirons ensemble un programme d’entraînement personnel comprenant une à deux séances par mois et des exercices pratiques.

 

Chaque séance dure environ 1 heure et se déroule comme suit :

  1. Bilan de la période écoulée depuis la dernière séance

  2. Théorie sur un outil de préparation mentale

  3. Mise en pratique à travers des exercices

  4. Bilan de fin de séance incluant des exercices d'entraînement quotidien

Vous avez le choix entre plusieurs options :

  • Séances à l'unité: Idéal si vous avez un besoin ponctuel ou préférez un accompagnement flexible.

  • Pack de 5 séances: Pour des objectifs nécessitant un suivi plus intensif et spécifique.

DANS QUEL CAS CONSULTER ?

Pour qui ?
Ma pratique s'adresse aux cavaliers, maîtres-chiens, et à tout autre binôme animal/gardien, que vous pratiquiez en loisir ou en compétition. Peu importe votre discipline (CSO, équi-feel, CCE, ring, agility, etc.), la préparation mentale peut vous aider à améliorer vos performances et à gérer efficacement le stress.

 

Pour quoi ?
 

La préparation mentale peut vous être bénéfique si vous rencontrez :

  • Des erreurs en compétition que vous ne faites pas à l'entraînement

  • Des difficultés à dormir avant les compétitions

  • Des tensions musculaires ou des sensations de nervosité

  • Des phases d'apnées

  • Une tendance à ressasser après vos parcours ou tout autre défi émotionnel

Témoignages

"Christine m'a permis de comprendre que mon stress gênait beaucoup le travail de mon chien en concours et renforçait son excitation. Elle m'a donné les outils afin de gérer et stabiliser mon angoisse ce qui a permis au binôme une amélioration du travail. Un grand merci pour cette aide." - Françoise

Commencez votre parcours de préparation mentale dès aujourd'hui!

Contactez moi pour discuter de vos besoins spécifiques et réserver votre première séance. Ensemble, nous pouvons atteindre vos objectifs sportifs tout en renforçant votre bien-être mental et celui de votre partenaire.

En savoir plus

QU'EST-CE QUE LE STRESS

Le Dr Hans Selye a défini le stress comme « l’ensemble des moyens physiologiques et psychologiques mis en œuvre par une personne pour s’adapter à un événement ».


Le stress est une réaction complexe essentielle à la survie, mais il peut aussi devenir néfaste s'il est mal géré.


Le stress est un ensemble de mécanismes complexes essentiels à la survie et qui se sont perfectionnés durant des milliers d’années. On distingue un axe rapide et un axe lent. Ce dernier est une réaction d’endurance qui peut, si elle dure trop longtemps, épuiser l’organisme voir mener au burn out.

Dans le langage courant, nous utilisons uniquement le mot stress. Dans les faits, c’est souvent pour parler du mauvais stress. Or, il est important d’apprendre à distinguer ce dernier (ou distress (détresse en anglais)) du stress positif (ou eustress). Le premier nous fait perdre nos moyens, le second va nous offrir les ressources nécessaires pour relever un défi.

Si vous chercher sur internet, vous trouverez de nombreuses études soulignant l’impact positif des animaux sur le stress humain ou sur notre stress (diminution du rythme cardiaque, système immunitaire renforcé, diminution du risque d’allergie…), aucune sur un impact négatif (ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en a pas).

Par contre il existe de nombreuses études sur les effets que les animaux ont sur le stress humain, ainsi que sur le stress en compétition chez l’homme, mais très peu sur l’impact du stress de l’homme sur l’animal et sur le stress en compétition chez l’animal.

Étude de cas :

Étude de l’université de Linköping, publiée en 2019 et intitulée «les niveaux de stress à long terme sont synchronisés chez les chiens et leurs propriétaires» (Cliquez ici pour voir l‘étude complète).

Cette étude s’appuie sur la mesure du taux de cortisol capillaire (HCC) chez 58 couples chien-humain. Les résultats montrent un lien entre le taux de cortisol du maître et du chien. Il est précisé que le niveau d’activité des chiens et le nombre de séance d’entraînement par semaine n’ont pas d’effet sur le HCC des chiens, ce qui montre que ce niveau n’est pas lié à l’activité physique générale. Alors que les traits de personnalité humaine (optimisme, pessimisme, conscience de soi et ouverture d’esprit) ont un impact significatif sur le HCC des chiens. L’étude suggère que les chiens reflètent dans une large mesure le niveau de stress de leurs propriétaires.

Un exemple concernant les chevaux :

Marie Peeters a réalisé sa thèse de doctorat à l’université de Liège sur l’évaluation du niveau de stress du cheval en compétition et en milieu hospitalier (Cliquez ici pour voir l‘étude complète).

Lors des compétitions, elle a mesuré le taux de cortisol salivaire chez des chevaux et leurs cavaliers à différents temps : au repos, lors de l’entrée en piste puis à intervalle de 20 min après le parcours. Elle a ensuite mis les taux relevés en corrélation avec leurs résultats et a constaté que les meilleures performances ont été obtenues chez les cavaliers dont le taux de cortisol était les plus faibles. L’inverse a été observé chez les chevaux. Sa conclusion sur cette partie de sa thèse est :

« Nous montrons que, à tout le moins dans le cadre de la compétition suivie lors de notre étude, les chevaux demeurent dans les limites d’un stress positif qualifié de « eustress », tandis que les cavaliers tendent en revanche à tomber dans le « distress », soit une anxiété néfaste à la performance ».

 

Ces différents éléments prouvent qu’il y a bien un effet du stress humain sur celui de l’animal. Dans le cas des chiens, et bien que je n’ai pas trouvé d’étude équivalente pour les chevaux, il semble probable que ce soit le cas aussi, d’autant qu’il est prouvé que tout comme les chiens, les chevaux sont capables d’identifier l’odeur du stress. On peut voir également que le stress a bien un impact sur les performances et que sur ce point, les humains sont plus en « distress » que les chevaux.

Stress et charge mentale
bottom of page